Jeunes diplômés, la génération sacrifiée ?

Les jeunes diplômés font face à une brutale dégradation de la situation de l’emploi, il est essentiel de travailler très sérieusement son intégration professionnelle.

Il y a quelques mois nous constations la très nette amélioration du marché du travail pour les jeunes diplômés. 85% des diplômés 2018 occupaient un emploi en janvier 2020.
Et les salaires suivaient avec une hausse de 6,5% pour le salaire médian entre 2018 et 2017.

La désillusion est grande au vu de la dernière étude de l’APEC, avec une chute de 69% des offres destinées aux jeunes diplômés en avril 2020 par rapport à avril 2019.

Et au-delà des frontières, c’est le même phénomène. Selon l’Organisation Internationale du Travail, un jeune actif de moins de 25 ans sur six a perdu son emploi suite à la pandémie.

L’emploi des jeunes devient donc une priorité nationale, avec un volet dédié dans le prochain projet de loi de finances.
Il devrait être question de favoriser les dispositifs d’apprentissage, l’insertion professionnelle avec des stages, les expériences à l’international, la validation des acquis de l’expérience, …

Le marché de l’emploi se durcit, la sélection devient plus forte, raison de plus pour travailler très sérieusement sont intégration professionnelle.

Mettre en avant son attractivité, identifier les secteurs à cibler, optimiser sa présentation, rien ne doit être laissé au hasard.
Et se faire aider par des spécialistes est un atout précieux.
Le FRES est plus que jamais prêt à vous aider.